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Conflit entre l'État et la nation


Certains se demandent pourquoi je suis plus critique à l'égard du régime de Poutine qu'à l'égard de celui de Kiev. Parce que l'auditeur à qui s'adressent mes messages n'a aucune sympathie pour le régime de Kiev, sachant bien qu'il s'agit de l'usurpation du pouvoir dans cet État par une clique de Juifs au service du sionisme international.

Ce qui est à peine connu dans les milieux patriotiques et antimondialistes, c'est que la Russie sous le mandat de Poutine est aussi une colonie d'entités privées qui ont colonisé et extorqué l'ensemble de l'économie de cet État, contrôlent son système politique, ses organes répressifs et sa presse.

Je n'insiste plus sur les fausses dichotomies dont je vous ai parlé tant de fois. La Russie promeut, par le biais de son administration coloniale, l'ensemble de l'agenda de la technocratie sataniste, comme tous les autres pays, y compris les États-Unis, les BRICS et les pays de l'UE.

Et la guerre en Ukraine fait partie du même scénario imposé de l'extérieur aux deux pays. Le but est évident : la destruction économique de la Russie et le démantèlement territorial de cette immensité géographique et de ce naufrage géopolitique. Plus l'assassinat en masse du plus grand nombre possible d'orthodoxes. Il s'agit d'une stratégie de dépopulation, mais aussi d'une revanche historique des Khazars, qui se vengent de la défaite subie il y a des centaines d'années.

Le premier acte de cette revanche a été le coup d'État de 1917, suivi de la Terreur rouge et du massacre de dizaines de millions de Russes.

Le deuxième acte du raid rituel des kabbalistes au chapeau noir a été la destruction de l'URSS.

Et maintenant, le troisième acte de rage sauvage, alimenté par une haine viscérale de la nature démoniaque, est en train de se dérouler. Il est également conçu comme l'épisode terminal de l'anéantissement de la Russie en tant que phénomène historique majeur.

Cette longue guerre contre le peuple orthodoxe le plus nombreux et le plus vigoureux est menée avec une efficacité maximale précisément par l'intermédiaire des marionnettes qui forment l'administration Poutine.

Une fois de plus, selon la formule consacrée du grand sociologue roumain Dimitrie Gusti, dans la Russie d'aujourd'hui (comme dans d'autres pays, d'ailleurs !), les relations entre les dirigeants et le peuple s'appellent le CONFLIT ENTRE L'ÉTAT ET LA NATION.

Confondre le peuple russe et l'intérêt national de la Russie avec son administration vénale et vendue est la plus grossière erreur de perception des réalités politiques de ce pays.

Un journaliste indépendant de la République de Moldavie, un dissident anticommuniste, un ancien député et vice-premier ministre, un rédacteur, un traducteur et un organisateur du groupe de réflexion international antimondialiste Forum Chisinau.